Sa voiture était en panne alors je raccompagnais une amie chez elle qui venait de faire ses courses. On déposa ses sacs derrière. On discuta pendant le trajet de tout et rien. Dans un virage, un sac se renversa, je lui dis qu’il n’irait pas plus loin. Arrivé à destination, on sortit de la voiture pour déposer ses courses, je tenais deux sacs et elle rentra à l’arrière pour ramasser le troisième. Elle m’offrit une très belle vue qui m’excita tout de suite. Je posai les sacs par terre et m’approcha de son beau derrière que je caressai du bout des doigts. « Comme si c’était le moment. » Me dit-elle. Je ne répondis pas et releva sa robe, son string était violet. Je le fis glisser sur une fesse et lui caressa son minou d’une main et sortit ma queue d’une autre. Lorsqu’elle entendit le bruit de ma braguette, elle tourna la tête et vis ma queue toute dure. Elle se pencha encore plus en avant et me regarda la pénétrer. Je la rentrais entièrement, elle gémit et commença mes aller et venue. Je le fessais gentiment pour l’exciter un peu plus, elle donnait des coups de bassins en arrière. Concentré sur se que je faisais, je n’entendis pas arriver sa voisine derrière moi. Elle glissa une main dans mon pantalon derrière pour me caresser les fesses et de l’autre elle caressait le cul que je sautais. Elle passa sa main devant pour me caresser les couilles, elle embrassa les fesses et demanda à mon amie si elle pouvait s’installer pour un 69. Elle accepta. Elle se releva un peu pour laisser sa voisine s’installer, puis se rabaissa et commença aussitôt à la lécher. Etant donné que je m’occupais déjà du minou, la voisine s’occupa de nous en même temps : elle léchait tout du long à partir du clito jusqu'à mes couilles quand j’étais à plein dedans. Très jouissif. Elle me caressait toujours les boules avec une main et de l’autre elle doigtait l’anus de sa voisine qui avait l’air de bien apprécier. Mon amie léchait à plein bouche la voisine et de temps en temps elle lui mettait deux doigts : l’index et le majeur et caressait le clito avec le pouce, ce qui donnait de grand élan de coup de langue très appréciable. Aux bouts de quelques minutes, je n’en pouvais plus. J’avertis donc mes deux compagnes de jeux, la voisine me dit d’éjaculer sur le minou qu’elle était en train de lécher. Entendant cela mon amie se redressa un peu et fourra trois doigts dans le minou de la voisine et entreprit de la ramoner ainsi jusqu'à la jouissance de celle-ci, entre temps je m’étais retiré pour me branler sur le minou de mon amie. Je jouie très vite et juste quand elle commença à lécher tout ça mon amie la finit à la main. Les voisins ont du entendre plusieurs cris d’extase en même temps ce jour là.

J’arrivais chez une copine qui était un peu comme moi, c'est-à-dire qu’elle était naturiste sur les bords et donc ouvrir la porte aux gens en étant à moitié nue ne la dérangeait pas. C’est ce qu’elle fit aujourd’hui, simplement habillée d’un string rouge.

« Salut ça va ? »

« Oui et toi ? »

« Ouai, vas-y, installe toi j’arrive, je fini un truc vite fais. »

            Je partis dans le salon posé mon manteau sur une chaise et m’asseoir dans le canapé. J’espérais qu’elle s’habille un peu plus car avec la fatigue je commençais à être excité simplement en la sachant à moitié nue dans la pièce à côté. Elle revint dans la même tenue, je la regardais de la tête aux pieds.

« Quoi ? J’ai un truc sur le nez ? »

« Heu … non, juste que je suis un peu naze et te voire comme ça … ben ça me titille les sens … »

            Elle s’approcha du canapé, se mit à quatre pattes dessus et avança vers moi, elle prit une de mes mains et se la posa sur ses seins bien fermes qui tétonnaient. « Ce sont eux qui t’excite ? » Puis elle avança encore et se la posa sur son petit cul rond.  « Ou c’est lui ? »

            Elle se redressa, me chevaucha et plongea ma tête dans sa poitrine que je me mis à embrasser aussitôt. Je posai mes mains sur ses hanches et elle enroula ses bras autour de ma tête.

« Je vais te mettre à l’aise. » Elle se remit debout et débouta mon pantalon, passa une main dedans pour vérifier que je bandais bien dur. « Mmmmmh. » « On va tout t’enlever sera mieux. » me dit-elle avec un clin d’œil.

Elle me déshabilla entièrement, se remit sur le canapé à quatre pattes et commença une fellation dont elle avait le secret. Je posai ma droite sur son cul, que je caressais, et l’autre sur sa tête. Elle montait et descendait sur ma queue avec sa bouche et me masturbait en même temps, je sentais sa langue parcourir mon gland et ma verge toute entière, ma main passa entre ses jambes pour lui caresser le minou et je sentis qu’il était déjà chaud et humide. Sa langue m’excitait vraiment beaucoup, et sa main masturbait avec douceur ma queue déjà bien dure. Elle se releva et se mit à califourchon et s’empala sur mon sexe, je remis mes mains sur ses hanches et ma tête dans sa poitrine, pendant qu’elle sautait sur ma queue. Elle bougeait son bassin d’avant en arrière en même temps qu’elle montait et descendait, je parcourais son corps avec mes mains, ses seins, ses hanches, ses cuisses, ses fesses que je fessais de temps à autres.

            Elle se releva, me tourna le dos et se rassit sur mes cuisses, mais cette fois elle me fit entrer par derrière, elle descendit tout doucement pour savourer cette sensation et moi de même. Son petit cul serré avait tendance à me finir et ça ne louperais pas cette fois encore. Elle monta et descendit doucement, sans la faire rentrer en entier, puis descendit pour tout mettre. Elle soupira de plaisir, moi aussi. D’avant en arrière, elle bougeait son bassin, ce qui eut pour effet de me faire craquer.

« AAhh, c’est bon, ouiii. » je soufflais d’extase.

« Mmmmh, oui j’ai sentis, délicieux. » dit-elle en souriant.

            Elle se pencha en arrière pour se reposer sur moi, mes mains lui couvrait la poitrine, elle passa un bras autour de ma tête et posa la sienne sur mon épaule.

« J’adore quand ça se passe comme ça, c’est si bon, pas de blabla, juste de l’action. »

« Si y’avait un peu plus de fille comme toi, on se ferait moins chié tiens. » dis-je en rigolant. Elle rit aussi.

« Si y’avait plus de mecs comme toi, les filles ne seraient pas aussi hermétique au plaisir d’un instant. »